Les avantages :
temps d’exécution assez court ;
prothèse fixe ;
participation partielle des caisses d’assurance maladie ;
1°. TRAITEMENT PAR PROTHÈSE FIXE OU BRIDGE
(sauf dans les cas d’édentation postérieure et lorsque la dernière dent est trop fragile pour servir de pilier postérieur).
temps d’exécution assez court ;
prothèse fixe ;
participation partielle des caisses d’assurance maladie ;
obligation de mutiler les dents adjacentes.
Interposition possible de débris alimentaires sous la dent intermédiaire, d’où la nécessité d’utiliser quotidiennement les brossettes inter-dentaires.
2°. TRAITEMENT PAR PROTHÈSE AMOVIBLE (prothèse adjointe partielle ou stellite).
(Option rarement prise pour une dent unitaire)
rapidité d’exécution ;
participation partielle des caisses d’assurance maladie ;
coût.
prothèse amovible, donc, moins confortable ;
interposition possible de débris alimentaires sous la prothèse ;
sollicitation des dents supports de crochets ;
manque d’esthétique quand certains crochets viennent en appui sur les dents antérieures.
Obligation de rebasage tous les cinq ans.
3°. TRAITEMENT PAR IMPLANT
Après confirmation par scanner de la qualité et de la quantité de l’os correspondant à la région intéressée, on pourra envisager la pose d’implants et la réalisation de prothèses céramiques.
Les addictions et certaines pathologies seront des contre-indications formelles.
préservation de l’intégrité des dents adjacentes,
prothèse fixe ;
confort et esthétique (dans la plupart des cas).
Traitement s’étalant sur 4 à 6 mois ;
Aucune participation de la sécurité sociale.
Coût.
4°. NE RIEN FAIRE
Dans le cas où le scanner nous confirme l’impossibilité de placer des implants, deux solutions seront à envisager :
1. le stellite, tout en sachant que quand une seule dent est absente en postérieur, cette solution est exceptionnellement retenue. Le bridge sera privilégié.
2. le statu quo.